La transcription du tome 2 reprend quatre des six textes manuscrits réunis dans ce volume

Notes denses, mais éparses, non reprises dans la transcription

Texte très elliptique, constitué de notes éparses. Non repris dans la transcription

Dans cette conférence prononcée en 1925 devant les membres du Club Soroptimist – réseau international de femmes professionnelles, fondé en 1921 aux Etats-Unis et en 1924 en France par le docteur Suzanne Noël - Marguerite Durand, qui fut elle-même une « Soroptimist », réfute les préjugés sur la prétendue incapacité féminine, dont elle voit l’origine dans l’ignorance de l’histoire des femmes et de leur rôle dans tous les domaines d’activité. Elle y réclame aussi le droit de vote, en dénonçant les « arguments» spécieux de ceux qui s’y opposent.

Le texte (malheureusement lacunaire) de cette conférence revient sur les prétextes que l’on oppose au vote des femmes, et propose que les femmes aient d’abord l’éligibilité. Marguerite Durand donne l’exemple de nombreux pays où les droits électoraux des femmes sont depuis longtemps établis.

Lors de cette conférence, Marguerite Durand retrace à grands traits l’histoire du féminisme, remontant aux Croisades pour expliquer sa lointaine origine.

Cette conférence est relative à la Résidence d’été des femmes journalistes que Marguerite Durand créa à Pierrefonds en 1932 dans l’ancienne maison de Séverine, « Les Trois marches » ; la fondatrice de La Fronde avait racheté cette maison à la mort de son amie, en 1929.